Michael vit paisiblement dans sa maison au bord de l'eau et passe ses moments de détente à pêcher ou bien à bord de sa fameuse chevrolet dont il parlait à KITT lors de ses anciennes missions. KITT lui a été démonté et... mis de coté, laissé pour mort dans un carton au fond d'une pièce dont on a jamais réouvert la porte. La Knight 2000 n'existe plus, on la verra seulement en flash back, seul moment du téléfilm qui n'est pas raté.

Knight Rider 2000, en VO, se déroule dans le futur, enfin on veut nous le faire croire, car les batiments, voitures, vêtements... sont tout ce qu'il y a de classique. Seule la politique est vraiment différente, les armes sont abolies y compris dans les services de police. Et voilà qu'un grand méchant joué par Mitch Pileggi, plus connu sous le nom de Skinner dans X-Files,
n'hésite pas à se servir d'armes à feu ! Oh la la ! Il faut à tout prix l'arrêter !

Vient le successeur de KITT, nommé KIFT par les fans, pour Knight Industrie Four Thousands, mais simplement appelé Knight 4000 à l'écran, Knight 4000 étant le nom de la voiture.

KIFT est muet, on a du mal à voir que la voiture vit, comme l'était la Knight 2000, c'est surtout la voiture en elle-même,
la Knight 4000, qui fait la différence. Une robe rouge très peu discrète, ca en met plein la vue, d'autant qu'elle est très performante, et c'est là le gros soucis pour le téléspectateur. Nul besoin de turbo boost, nul besoin d'huile, de ski-mode... Il suffit de dire "on passe en réalité virtuelle" puis de jouer à dieu, tout bètement. "Fais éclater les pneus !" et voilà la voiture poursuivie qui se retrouve avec les quatre pneus crevés. Où est la poursuite ? Y'en a pas. Bref, une voiture tellement puissante avec sa réalité virtuelle
qu'il ne se passe absolument rien.

Michael ressortira KITT de son carton, celui ci ne lui en voudra pas du tout de l'avoir mis de coté, et l'intégrera dans
la Knight 4000, pour le laisser avec une femme policier à la fin pour retourner à sa maison près du lac.

Aucun sentiment digne de la série, aucun personnage original restant, que des mauvaises idées,
un futur bien mal retranscrit, et je m'arrête là, c'est nul et c'est tout.

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